HASSLER Marie
Parcours
Domaines de recherche
Histoire diplomatique
Relations internatinales
France
Serbie
Europe
Alliances
CV
Inscrite en thèse à l'Université de Lorraine en septembre 2016.
Cursus universitaire
- 2021 : Thèse en histoire, sous la direction de Jean-Noël Grandhomme, Université de Lorraine.
- 2004 : Diplômes d'études approfondies « Les relations franco-serbes (1903-1914) » (Université de Strasbourg)
- 2003 : Maîtrise « Les relations franco-serbes à travers l'association des Poilus d'Orient (1918-1938) » (Université de Strasbourg)
- 2002 : Licence Histoire (Université de Strasbourg)
- 2001 : Diplôme d'études universitaires générales Sciences Humaines et Sociales (Université de Strasbourg).
Emplois occupés
En poste comme TZR dans l’académie de Strasbourg
- Depuis le 1er septembre 2016 : professeur agrégé d’histoire géographie
- Depuis le 1er septembre 2016 : professeur agrégé de classe normale
- Du 1er septembre 2006 au 31 août 2017 : professeur certifié d’histoire et géographie
- Du 1er septembre 2006 au 31 août 2017 : professeur certifié de classe normale.
- 1er semestre 2017/2018 : vacations à l’université de Lorraine (Nancy) : « la France dans les guerres, de 1870 à 1a sortie de la Première Guerre mondiale ».
Programmes de recherche
Résumé du projet de thèse
L’objectif de ce travail est de souligner la construction d’une alliance bilatérale, dans un contexte de tensions européennes croissantes. Il s’agit ainsi d’envisager la politique étrangère française mais aussi les relations particulières entretenues par la France et la Serbie au travers de leurs personnels diplomatiques. L’enjeu est bien de souligner les caractéristiques propres à la relation franco-serbe ainsi que ses évolutions au cours de la période, dans un cadre européen qui conduit à la construction d’alliances.
Ce projet permet la poursuite d’un travail entamé en Maîtrise, sous la direction de Monsieur Jean-Noël Grandhomme, Professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Lorraine à Nancy. Il se construit également sous la codirection de Monsieur Stanislav Sretenovic, directeur de recherches à l’Institut national d’histoire contemporaine de Belgrade (Serbie).