Ma thèse de doctorat portait sur la formation du groupe social étudiant en France et en Allemagne à la fin du XIX^e siècle, à travers l’étude de leurs organisations et mobilisations collectives. Après cette recherche comparée franco-allemande, mes travaux portent désormais sur l’histoire transnationale des étudiants en Europe au XIX^e et durant la première moitié du XX^e siècle, plus spécifiquement sur leurs relations, mouvements et rencontres à l’échelle européenne et internationale. Plus généralement, mon intérêt porte sur l’histoire de l’enseignement supérieur. Je mène ainsi parallèlement des recherches sur l’histoire des sciences sociales dans l’espace germanophone à la même époque.