BOUCHEZ Marie
Parcours
Domaines de recherche
Affaire Dreyfus
Intellectuels
Interculturalité
Politique
République chinoise
CV
Titres Universitaires
- 2021 : Thèse d'université en histoire contemporaine.
- 2015 : agrégation d’Histoire (Lyon 3).
- 2013 : Master 2 d’Histoire sous la direction de Jean El Gammal portant sur « l’engagement des intellectuels lorrains lors de l’Affaire Dreyfus (1894-1914) » à l’Université de Lorraine. Mention Très bien.
Fonctions occupées
- 2023-2024 : PRAG en histoire contemporaine, Université Gustave Eiffel, Marne la Vallée.
- 2022-2023 : ATER en histoire contemporaine, CRULH Metz.
- 2021-2022 : ATER en histoire contemporaine, CRULH Nancy.
- De 2017 à 2021 : Chargée d’enseignements d'histoire contemporaine, Université de Lorraine (contrat doctoral).
- 2017-2018 : Histoire politique, sociale et culturelle du XIXe siècle (L2), Méthodologie du travail universitaire (L1)
- 2018-2019 : Préparation de l’épreuve de « questions contemporaines » du concours des Instituts d’Études Politiques 2019 sur le thème « le secret » ( L1 parcours droit et sciences politiques), Méthodologie du travail universitaire (L1)
- 2019-2020 : Préparation de l’épreuve de « questions contemporaines » du concours des Instituts d’Études Politiques 2020 sur les thèmes « le secret » et « révolutions » ( L1 parcours droit et sciences politiques), Méthodologie du travail universitaire (L1)
- 2015-2017 : professeure agrégée dans l’enseignement secondaire
Programmes de recherche
Mes recherches portent principalement sur l’Histoire politique et intellectuelle de la fin du XIXe siècle à la première moitié du XXe siècle. Après m’être intéressée à l’engagement intellectuel en Lorraine lors de l’Affaire Dreyfus, j’ai choisi d’élargir mes recherches de manière temporelle et thématique. En effet, ma thèse de doctorat porte sur les réactions des intellectuels français face aux nombreux soubresauts politique que connait la République chinoise, de sa création en 1912 à l’avènement de Mao Zedong en 1949.
Je m’intéresse donc aux sociétés intellectuelles dans leur globalité, en questionnant également le terme même d’« intellectuel » et les modalités de l’engagement. J’ai choisi d’observer ces questions à travers des relations transnationales avec la République de Chine. Je souhaite à l’avenir, continuer de travailler sur les échanges intellectuels et les représentations culturelles à l’échelle internationale. Les mutations politiques du XXe siècle, offrent une toile de fond mouvante à ces relations interculturelles et permettent d’interroger les représentations réciproques sur un temps long. Long. Mon sujet d’étude pourra être complété par des études biographiques ou prosopographiques sur des sinologues ou un groupe particulier comme celui de l’IHEC.